VIGIK+: moderniser et sécuriser l’accès aux immeubles

La sécurité des immeubles collectifs est un enjeu majeur pour les syndics et bailleurs. Avec l’évolution des technologies et des normes, le VIGIK+ s’impose comme la solution moderne pour gérer l’accès des prestataires tout en protégeant les résidents.
Ce système ne se limite pas à remplacer l’ancien VIGIK : il offre une gestion intelligente, traçable et sécurisée des interventions dans les parties communes.
Pourquoi l’adopter ?

C’est un outil stratégique pour :
- Sécuriser les accès aux prestataires et limiter les risques d’intrusion.
- Suivre les passages avec un historique horodaté et traçable.
- Garantir la conformité réglementaire, notamment vis-à-vis du RGPD et du Code de la construction.
En combinant sécurité, traçabilité et innovation technologique, VIGIK+ devient un levier de confiance pour gestionnaires, prestataires et résidents.
VIGIK+ connecté ou non connecté : que choisir ?
Le système VIGIK+ peut fonctionner en mode connecté ou hors ligne. Chaque option présente des avantages et des contraintes.
Contrôle d’accès connecté : la gestion centralisée
- Mises à jour automatiques : les modifications des droits d’accès et des paramètres de sécurité sont appliquées en temps réel, sans intervention physique.
- Sécurité optimale : les correctifs et renouvellements cryptographiques se font automatiquement, garantissant un niveau de protection constant.
- Gestion simplifiée : ajout, suppression ou modification des droits des prestataires via une interface en ligne.
- Réactivité accrue : les alertes et anomalies sont immédiatement transmises, permettant une action rapide à distance.
La solution connectée est fortement recommandée pour maximiser les bénéfices de sécurité et de gestion des immeubles.

Contrôle d’accès hors ligne : autonomie avec contraintes
- Mise à jour de sécurité : le système nécessite une mise à jour tous les 3 ans, passé ce délais les professionnels n’ont plus accès.
- Interventions manuelles : les mises à jour doivent être appliquées localement, via un dispositif fourni par le fabricant (application mobile ou autre).
- Les principales opérations concernent :
- Modification des droits d’accès professionnels.
- Renouvellement des éléments de sécurité tous les 3 ans.
- Application des correctifs majeurs de sécurité.
Les systèmes non connectés nécessitent donc une intervention physique pour chaque mise à jour, sous peine de bloquer les accès professionnels.


Les points forts de VIGIK+
- Badges temporaires et sécurisés : valables uniquement pendant la durée de l’intervention.
- Traçabilité complète : horodatage de chaque passage pour un suivi précis.
- Cryptage renforcé : impossibilité de copier ou falsifier les badges.
Ces innovations permettent aux gestionnaires d’avoir une vision globale et sécurisée des accès dans leurs immeubles.
Étapes pour migrer vers VIGIK+
- Évaluer l’installation actuelle : déterminer si le matériel peut être mis à jour ou remplacé.
- Installer via un professionnel agréé : garantir la conformité technique et réglementaire.
- Informer occupants et prestataires : préparer une transition fluide.
- Mettre en place un suivi régulier : renouveler les badges et contrôler l’accès en continu.


FAQ : tout savoir sur VIGIK+
Q1 : Qui utilise VIGIK+ ?
Tous les prestataires intervenant dans les parties communes : facteur, technicien, agent de nettoyage.
Q2 : Connecté ou non connecté, que choisir ?
Le mode connecté offre une gestion centralisée, mises à jour automatiques et alertes en temps réel. Le mode hors ligne fonctionne jusqu’à 3 ans et nécessite de se déplacer localement pour effectuer les mises à jour.
Q3 : Pourquoi migrer dès maintenant ?
Pour anticiper l’arrêt de l’ancien VIGIK au 1er janvier 2030, qui bloquera les professionnels et pour rester conforme aux normes de sécurité et au RGPD.
Q4 : Quelles différences avec l’ancien VIGIK ?
Badges horodatés et temporaires, traçabilité complète, cryptage renforcé et possibilité de gérer les accès à distance.
Q5 : Comment garantir la sécurité des données ?
Limiter la conservation des informations, restreindre l’accès aux personnes habilitées et sécuriser les fichiers conformément au RGPD.


